c.tumblr. ©

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CHP1. ☆ until the world ends.
25 décembre. Il neige sur la petite ville de Oakley, au Kansas. Konstantinova Evans marche dans les rues blanches et pourtant sombres, titubant légèrement. C'était le jour de Noël et il devait être une heure du matin, voir presque deux. Pourquoi n'était-elle pas avec les siens? Avec sa famille? Elle s'arrête devant une porte, elle semble nerveuse. Elle hésite, une, deux, trois minutes, puis décide de toquer contre la porte en bois. Elle attend encore, personne ne vient lui ouvrir. Pourtant, elle avait besoin d'aide. La porte tarde à s'ouvrir. Les flocons continuent de tomber doucement dans les cheveux bruns de la jeune russe. La poignée de l'entrée finit par tourner, et la porte s'ouvrit. « Konstantinova! Ton père t'avait interdit de revenir, dit en un russe parfait et rapide la mère de la jeune femme qui ne devait guerre avoir plus de dix-huit ans, voir vingt. Elle la regarda avec tristesse, mais un peu de méprit quand même, et poursuivit Allez, oust! Tu n'es pas censée être ici. N'es-tu donc pas avec ton américain de mari?! » Les lèvres de la jeune Konstance se mirent à trembler. Repenser à son mari, qui l'avait lâchement abandonnée, la mettait mal à l'aise. « S'il te plait, Maman, répondit-elle dans la même langue, j'ai besoin de toi. Plus que jamais. » Elle écarta légèrement son long manteau, trop léger en vue du temps et de la température qu'il faisait. Sa mère retint un cri d'horreur lorsqu'elle vit le ventre arrondi par la grossesse de sa fille. Elle devait en être à son huitième mois, peut-être même le neuvième et dernier! La russe regarda à gauche, puis à droite, et fit précipitamment entrer sa fille dans la maison familiale. Elle la serra contre elle, puis, presque aussitôt, la relâcha et lui mit une claque énorme. « Tu ne mérites pas de revenir! Saches que tu n'es plus la bienvenue ici, Konstantinova. Que Dieu me pardonnes de t'accueillir à nouveau! Je ne suis qu'une mère, après tout. » Des larmes se mirent à couler sur les joues de la jeune Konstance. Sa mère l'attrapa par le coude et l'emmena dans le salon où le père Litovski attendait que sa femme revienne. La mère annonça la venue de leur fille aînée et Igor grogna lorsque ladite aînée entra dans la pièce. « Konstantinova Aleksandra Litovski. » Il se leva et Konstance se mit à craindre du pire. [...] « Elle n'a que ce qu'elle mérite. » Mrs Litovski se mit à sangloter en observant le corps de sa fille étendu sur le lit, sans vie. Son mari posa une main consolatrice sur l'épaule de sa femme, sans larmes de son côté. Il se tourna vers les deux berceaux qui avaient été ressortis à l'occasion des naissances. « Je vais m'occuper de ces deux là. » Qu'allai-t-il faire? Les noyer dans un étang comme des petits chatons in désirés? Les expédiés dans leur famille paternelle? Craignant le pire, Mrs Litovski s'arrêta de pleurer sur le corps de sa défunte fille. « Je reviens, Solàra. »

« Ces deux enfants, Anastasia et Alekseï Litovski, sont les sœur et frère du jeune Dimitri, normalement encore présents dans votre établissement. Prenez-en soin autant que vous en prenez de Dimitri. Ils sont nés le 25 décembre aux alentours de trois heures du matin, si vous avez besoin de ces renseignements. »

CHP2. ☆ i don't need you anymore.
uc.

CHP3. ☆ première chasse.
uc.

CHP4. ☆ j'aurai aimé comme on aime le soleil.
uc.

CHP5. ☆ wait a minute. what do we doing, now?
uc.

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