NOM		PRÉNOM(S)
ÂGE		NAISSANCE
EMPLOI		FEATURING

✾ SEE THE SUPERNATURAL - Le surnaturel... Je ne crois pas tellement en tout ce qui est créatures mythiques et super pouvoirs. C'est vrai, pourquoi Dieu nous aurait fait si différents. Un peu, ok pour être unique, mais après, stop quoi ! Pourtant, c’est vrai que, parfois des phénomènes sont Vraiment inexplicables sauf par les voies du surnaturelles. Genre, je sais pas si vous voyez mais les traces super bien faite dans les champs qui sont arrivés du jour au lendemain ? Bah ça s’est légèrement impossible pour l’humain même avec une machine, ‘fin c’est ce qu’ils disent à la télévision donc. Et puis un truc auquel j’ai jamais cru, c’est bien la combustion humaine instantané. Genre c’est un phénomène normal que tu crames tout seul dans ton salon, mais THE blague quoi ! Ouais, je sais que Liam m’a déjà expliqué que c’était parce qu’un humain pouvait avoir tellement de gaz en lui qui brulait littéralement, mais pour moi c’est pas probable. C’est les petits hommes verts qui viennent nous cramer un à un et qui infiltrent l’esprit de Liam pour nous faire croire à des conneries pareils. Quoi, j’étais pas drôle là ? Ma meilleure amie aurait compris, mais voyez-vous, elle est morte, et là, c’est la preuve même que le surnaturel existe. Parce que Personne, je dis bien personne, même pas les supers intelligents de NYC n’ont trouvé comment elle est morte. Depuis, j’essaye et tout me mènent vers des voies surnaturelles.

determinée ◈naïve ◈ battante ◈ fragile ◈ douce ◈ jalouse

✾ TICS & TOCS - Ce que vous ne savez pas sur Jenny Dylan Parker en 10 points (avant la mort de sa meilleure amie) : Elle se donne des airs de maniaque. C’est-à-dire qu’elle tente de tout bien ranger mais elle est si tête en l’air et maladroite que tout se dérange en quelques heures. Ca fait bien rire sa meilleure amie. Elle a toujours dans la boîte au-dessus de son lit, ses premières ballerines, qu’elle adore mettre en scène dans ses photos. Elle fait collection des vieux appareils photos, dont les défauts font la richesse de ses photos, comme la blondie dirait. Elle déteste qu’on la traite de « Vraie Blonde » c’est pour elle l’insulte suprême et elle risque de renverser un joli pichet d’eau sur votre minois. Elle a une énorme allergie aux bananes. Même si elle mange un yaourt au banane, elle gonflera comme un hippopotame. Rectification, ne lui dites surtout pas qu’elle ressemble à un hippopotame, car elle a des tendances anorexiques depuis son enfance. Elle ne le fait pas exprès, elle a tout pour être heureuse mais elle n’a pas toujours faim et elle peut rester 3 jours sans manger. Elle veut avoir 3 enfants, elle les appellera Amber, Helena et Stefan. Avec un chien et un chat. Le chat s’appellera Satheen et le chien Sulky. Elle a déjà cru être enceinte, mais au final, c’était simplement une fausse alerte. Fausse alerte qui lui aura couté cher pour vérifier qu’elle ne l’était pas ! Depuis, elle fait très, très attention. Elle adore le rock, principalement 30 second to mars et est allée à 3 de leur concert à New York. C’est les trois seules fois où elle s’est rendue dans cette ville, qui, selon elle est géniale..

supernatural geek

✾ BEHIND THE SCREEN - recklessvintage, ou Clémence, tout simplement ◈ 16 ans ◈ France ◈ 4/7 au minimum ◈ 7/10 ◈ TON AVIS SUR LE FORUM : Vraiment beau, le design est à tombé, mais c'est du dodixe, donc je ne suis jamais déçue ! Les codages sont vraiment originaux, un vrai travail entre simplicité et diversification. ◈ D'OU TU VIENS : Bazzart c'est mon copain (aa).


2. humain
✔ fiche terminée

La jeune fille qui venait de pleurer n’avait pas encore de noms. Le 26ème enfant de la journée dans les Etats-Unis d’Amériques. Elle gigotait, pleine de sang, alors qu’il était seulement minuit passé de dix minutes. La mère posa la tête sur le coussin et soupira.

« Jenny Dylan Parker, tu m’auras fait souffrir. »

Les infirmières commencèrent à écrire Jennyfer. Mais Olivia, la jeune maman, les fusilla du regard.

« C’est Jenny. Pas Jennyfer. J.E.N.N.Y. »

Tout en se confondant en excuse, les infirmières changèrent le prénom du bébé. Un prénom tout simple, ressemblant plus à un surnom, qui avait été choisi depuis longtemps. Dylan était un prénom mixte, choix qui prit encore plus de temps que de choisir le premier prénom. Dylan fut choisi pour rappeler le bébé qu’a perdu Olivia durant l’année précédente. Comme les deux parents ne savaient pas si le bébé perdu était une fille ou un garçon, ils l’ont nommé Dylan et ont donné ce prénom en second prénom à la jeune Jenny. De ses yeux innocents, le bébé fixa sa mère d’un air surpris, et
Sursautant à petit coup. Cet enfant était magnifique. L’enfant inespérée.


« Souviens-toi des pas Jen’, tu peux le faire ! »

La jolie blondie sautilla à pas mesurée. La danse, elle aimait ça. Avec le petit appareil photo jetable de sa mère, à 7 ans à peine, elle jouait avec la position des ballerines afin de rendre une scène parfaite à photographier. Elle regarda rapidement le monde dans la salle. Les trois quarts de la ville la regardaient danser. Ses joues rougirent elle se concentra sur ses pieds. A peine elle posa les yeux qu’elle eut une idée de photo.

« C’est pas le moment Jenny ! »

Souvent, déterminée comme elle était, la jeune fille se remettait d’elle-même à l’ordre. Elle était droite et douée. Sauf en géométrie, ce que son professeur de mathématique lui rappelait souvent :

« Ah, mademoiselle Parker, si vous étiez aussi douée avec des ballerines qu’avec un compas ! »

Comme disait sa mère, on ne peut pas être douée partout. La demoiselle fini sa danse et la pantomime continua lentement, ses amies prenaient place et l’art débuta réellement. C’était les mots de leur professeur. Lorsqu’ils sont ensemble, en « harmonie parfaite », rien n’est plus beau.

Jenny s’arrachait presque les cheveux devant son contrôle de mathématiques. Fichu discipline. Heureusement que c’était le dernier test de l’année. Non, en fait, le dernier test de mathématique de sa vie. Ô grand bonheur. Encore quelques efforts de la jolie blonde et plus jamais elle ne verra cet enseignant avec son affreuse verrue sur la joue. La cloche sonna, la prévenant de la fin de son calvaire. La copie à demi vide, elle se leva précipitamment, reversant sa trousse au passage. Elle étouffa un rire et ramassa ses affaires sous le regard noir et narquois de son enseignant. Elle reposa le tout sur sa table, rendit sa copie avec un sourire hypocrite :

« C’est tout mademoiselle Parker ? »

Elle hocha la tête avec un sourire mauvais. Ce dernier ria légèrement avant de prendre la copie de sa meilleure amie. Elle attrapa la main de cette dernière et la serra doucement. Charlie lui fit un clin d’œil et Jen’ retourna chercher ses affaires. En sortant de la classe, sa main fut kidnappée. Elle sourit au ravisseur avant de déposer un baiser léger sur les lèvres de son chéri.

« Alors, ce contrôle ? »

La blondie grimaça et répondit malgré elle.

« Une catastrophe. Le positif ? Je ne verrais plus jamais la tête de Parkson. »

Matt ria doucement, caressant tendrement la main de Jen de son pouce. Jenny souvent, s’étonnait de sa chance. Elle vivait dans une petite ville tranquille, sans histoire et avait trouvé l’homme de sa vie depuis ses 14 ans. Matt était à la base de Caroline du nord. Il est venu en Pennsylvanie après le décès soudain de sa mère qui reste encore inexpliqué. Il est supposé qu’elle a suffoqué après avoir laissé par inadvertance le gaz ouvert. Depuis, Matt est toujours aux petits soins pour Jenny, dont il est tombé rapidement amoureux. Une jolie histoire pour un joli couple. Une semaine plus tard la remise des diplômes eut lieu et la Vraie vie débuta.


Le moment parfait. L’instant magique. Le visage expressif. Voilà ce que recherche un photographe. Quelque chose qui parlera rien qu’avec une image. Plus fort que des paroles de chansons, plus touchant que des mots : Une photo. Rien qu’un instant figé sur du papier glacé. D’une simplicité enfantine pour certains, cet art, ce don pour la photographie n’est pas donné à tout le monde. On a toujours dit à miss Parker que si elle ne perçait pas dans la danse, elle ferait une excellente photographe. Malheureusement, les chevilles de la demoiselle étant fragile, elle devait se diriger vers la photo. Jamais Jenny ne regretta ce choix. Elle adore les appareils photos et leur différents objectifs qui impliquent une technique et un art toujours différent. Aucuns objectifs ne donnaient le même rendu et c’est pour cela que la demoiselle avait près d’une quarantaine d’appareil photos. Passant des plus vieux réussi à récupérer aux vieux du village après quelques services aux dernières générations.

« Allez ma Jen, c’est parti ! »

La blondinette souri à sa meilleure amie et pris son sac et trois appareils photo qui trainait sur la table basse de la chambre d’étudiante. La vraie vie avait commencé. Encore cette année et la suivante, et à elle les photos pro !

« Ecoute, c’est la 8ème fois que je t’appelle, on était censée manger avec Matt et Liam, tu fais quoi ? Je t’attends, dépêches toi ! »

Le temps que Jenny raccroche son téléphone, la sonnerie de l’interphone la sortie de son inquiétude. Elle décrocha et son interlocuteur était un inspecteur de police. La jeune fille commença à être très inquiète. Comme un pressentiment, les larmes lui montèrent aux yeux et elle pensa directement à sa meilleure amie. Rarement fut les fois où l’instinct de la jeune fille la trompa. A peine la demoiselle ouvrit la porte à l’inspecteur qu’il prononça le fatidique :

« Je suis désolé Mademoiselle Parker. »

Il commença par confirmer les doutes de la jeune femme : Sa meilleure amie avait été tuée dans la nuit. Il était presque treize heures et la police venait voir s’il n’y avait pas des indications dans l’appartement que les deux jeunes filles partageaient. Elles vivaient ensemble mais il n’était pas rare que l’une découche pour se retrouver dans un appartement d’un touriste et l’autre pour retrouver son chéri. Comme Matt était garagiste, il travaillait déjà à quelques kilomètres de la jolie blonde. Donc pour avoir de la compagnie, les deux filles ont emménagé ensemble. Sauf que désormais, il n’y aura plus que Jen. Fini les soirées en boîte où elles draguaient pour rire, les après-midis shopping loin de leur ville sans histoire. Non, désormais, elle était seule, seule avec sa peine. Plus personne pour la comprendre du premier regard, plus d’amie qui rira à toutes ses blagues, aussi vaseuses soient-elles, plus personne pour comprendre ses fous rires soudain, plus personne pour savoir comment elle réagira à tout et n’importe quoi… La vie est injuste, on lui a appris à la jolie blondie, mais ça, c’est pire que tout ce qu’elle a dû vivre. Lui prendre cet être cher… C’était trop dur. Trop insupportable. Mais si vous croyez qu’une Parker laisse la vie se moquer d’elle, vous avez tout faux.


« Jenny, c’est plus possible. Quand t’es pas en train de chercher qui a fait ça, tu pleures. En quand tu pleures pas tu te mets en quatre pour trouver qui l’a tuée. T’es pas flic, t’es photographe, t’as oublié ? Tu sais, ces appareils que t’aimais tant et que t’utilises juste quand tu penses avoir une preuve. Tu bosses plus à l’université, tu ignores mes appels et ceux de tes parents. Tu snob tout ce qui tentent de t’aider et tu ne me regardes jamais plus dans les yeux. Je croyais qu’on s’aimait. Qu’on allait, un jour, se marier et avoir pleins d’enfants. Je peux pas t’aimer comme ça. Je peux juste avoir mal pour toi. Je sais plus quoi faire Jen’ ! Reveilles toi bordel ! »

La blondinette aux yeux bouffis et rougis à cause des larmes qui perlaient sur son visage le toisa du regard.

« Quand tu perdras ta sœur, peut être que tu comprendras ce que je ressens ! »

Le garçon rougit de colère et se leva du sofa.

« Ce n’était même pas un membre de ta famille !!! »

Jenny manqua de s’étouffer et hurla :

« C’était tout comme !!! Je m’en vais ! »

La blondinette se leva et à peine remarqua-t-elle ce qu’elle venait de dire que Matt répliqua :

« Mais t’es chez toi Jenny ! »

Elle partit en colère dans sa chambre, claqua la porte et cria :

« Merci je suis au courant ! »

Il y eu un bruit de clés et un claquage de porte. Jenny s’effondra en larmes pour la cinquième fois de la journée sur son lit et rumina sur sa dure vie. Elle détruisait tout sur son passage ces derniers temps. Sa relation amoureuse, ses études, les repas de famille, tout… Elle cherchait la cause de la mort de sa meilleure amie, mais elle ne trouvait rien de logique, rien d’explicables. De plus en plus, des indices et des choses du genre la menait à croire au surnaturelle. Elle se gardait bien d’en parler à quiconque, elle avait trop de fierté pour qu’on la prenne pour une folle.