SUJET RP NUMERO 1 : La foi , c’est une chose que devrait posséder tous les humains. Ce n’est quand même pas trop que de leur demander de croire en leur Créateur, croire en celui qui leur avait donné la vie et pourtant de nos jours de moins en moins d’humains croient en Dieu parce que ce qu’ils appellent « la science » semble tout expliquer. Mais qu’est-ce que la science ? D’où vient elle si ce n’est de Dieu ? Les esprits humains veulent tout posséder alors ils s’approprient cette science n’était pas à eux, cette science n’étant que la main de dieu.

Heureusement pour nous les anges, certains humains continuent de croire en Dieu, en nous et en un monde plus beau, loin là haut, dans le ciel, un monde plus beau. Un bien grand mot pour décrire la terre des anges, mais qu’importe le paradis est notre terre et je me dois de la respecter. Bref, ce sont ces humains en questions qui nous permettent de venir fouler le sol de la planète terre, pour naviguer parmi les humains nous avons besoin d’un vassal et ça ne peut être en aucun cas quelque un qui se fiche des croyances, nous ne les choisissons pas, nous les trouvons, nous savons que c’est cette personne et il ne nous reste plus qu’à convaincre cet humain de nous prêter son corps …

Ellington est une petite ville comme une autre, reculée du monde, peu de gens savent que cette ville existe, nous les anges et ses temps troubles nous nous devons de nous pencher d’avantage sur cette ville, à l’heure actuelle, il ne s’y passe pas grand-chose, pas encore de démons ou de signe d’apocalypse, pas de disparitions suspect, alors pourquoi suis-je ici ? Une bien bonne question. Dans le calme d’Ellington se cache de lourds secrets et ma mission en tant qu’archange et de venir protéger l’un d’eux, je devais descendre sur terre pour protéger une jeune femme ayant des dons de prophéte, je devais la protéger des événements qui allaient très vite lui tomber sur le coin du nez, sans qu'elle ne comprenne quoi que ce soit. Mais avant toute chose je devais descendre sur terre et pour ça j'avais besoin d'un corps humain, mais pas n'importe qui, j'avais besoin de cette jeune femme, que je pouvais observer, invisible aux yeux de tous, je devais maintenant convaincre cette jeune femme de me laisser utilser son corps, ce qui n'est jamais aussi facile qu'on peut le croire.

Alice Héloïse Biel, une jeune femme simple, une grande religieuse, une femme qui va à l'église tous les jours et qui se confesse à la première erreur, elle a bien des raisons pour ça, elle a grandit dans une famille de religeux, son père était l'ancien prête de l'église d'Ellington, sa mère est morte d'une grave maladie, son adolescence n'a jamais était toute rose et la seule personne sur qui elle pouvait compter, c'est à dire son père est partit lui aussi, vers le paradis, mort d'un infractus pendant son sommeil, au mois il n'a pas souffert, tel est la philosphie de la jeune femme d'à peine dix huit ans, laissée seule sur la planète. Mais la roue tourne, les choses chances, on fait de nouvelles rencontre et quelques années plus tard, la voilà au bras d'un homme dont elle est vraiment amoureuse. Le grand amour selon notre belle jeune femme. Si je n'avais pas étais là, aujourd'hui elle serait sans doute mariée et heureuse, mais pour le bien de l'humanité j'ai du faire voler tous ça en fumée, sans vaiment le vouloir pourtant ...

C'est par une nuit froide d'Ellington, que j'entrais en contact avec la jeune femme rousse aux yeux marrons. Elle était là, dans sa salle de bain au beau milieu de la nuit, quand j'essayais de lui parler, seulement vous connaissait les effets de la voix des anges sur les monde humains, ultrassons et verre brisé, c'est ce qui se passa se soir là sous les yeux de cette pauvre femme qui se sentit pâlir plus qu'elle ne l'était au naturel sous le poids de la peur, elle est resté assise plusieurs minutes dans les débris de verres à se demander ce qui avait bien pu se passer, au final se fut considéré comme un drôle d'accident domestique et on oublia aussi vite que possible mon passage dans la petite maison, mais moi j'avais une mission à réaliser et même si des fois je suis tentée d'abandonner l'inachevé, la je ne pouvais pas m'y résoudre, alors je décidais de continuer mes tentative pour entrer en communication avec cette jeune femme, il fallait juste qu'elle s'habitue au son de ma voie pour comprendre ce que cela signifiait. Alors à partir ce cette nuit je revins plusieurs fois provoquant souvent le même genre d'accidents blessant parfois cette jolie jeune femme ressemblant presque plus à une poupée en porcelaine plutôt qu'à une humaine. Sa peau était d'ne blancheur s'approchant de celle de la neige, ses pomettes légerement rosée ressortait avec splendeur sur se teint si pâle, s'accordant avec magie à la roseur de ses lèvres. Cette jeune femme semblait être un véritable symbole de pureté, pour enfoncé le clou elle était d'une gentillesse à couper le souffle, il fallait bien de ça pour être institutrice dans une école maternelle, elle adorait les enfants et rêvait d'être maman, mais comme si le destin s'acharnait vraiment sur elle, la jeune femme était stérile, ceci dit, pour le moment, là n'est pas la question ...

Les jours passaient bientôt les semaines et presque les mois, tous ses évènements qui se déroulaient autour d'elle l'inquiétait, elle avait peur, mais le pire était encore à venir, un soir, alors qu'elle s'apprêtait à quitter l'école, j'arrivais enfin à communiquer avec elle, mes efforts avaient payé et j'allais enfin pouvoir être écoutée ...

« Alice j'ai besoin de toi .. »

La jeune femme aux cheveux couleur de feu se retourna pendant simplement avoir entendu une voix, avoir halluciné, elle arqua les sourciles, le couloir était désert, il n'y avait personne derrière elle, pourtant elle savait qu'elle n'était pas folle elle retourna sur ses pas, et le seul bruit qui se fit entendre c'était le claquement de ses talons sur le carellage de l'école.

« Y a quelqu'un ?
- Ecoute moi Alice ...
- Qui est là ?
- Je m'apelle Ayaelle ...
- Ayaelle ? Comme l'ange ... ?
- Pas comme, je suis l'ange.
- Pardon ?
- Je suis Ayaelle et j'ai besoin de toi ...
- Arrêtez cette plaisanterie ce n'est pas drôle du tout ...
- Ce n'est pas une blague, il se prépare des choses horribles et nous devons les empêcher, c'est pour cette raison que j'ai besoin de toi ...
- N'importe quoi, laissez moi ... »

Sur ses mots la jeune femme s'éloigna dans le couloir de l'école, sa fine silhouette s'enfonçant dans la noirceur qui regnait à cette heure tardive, j'avais encore échoué apparament même les plus croyants des humains avaient du mal à croire en la présence des anges, au fond je les comprenais, nous n'avions jamais rien fait pour eux, certaines personnes parlaient de miracle, mais avouons le, il n'y en a jamais eu beaucoup, les gens, même les plus croyant perdait la foi parce que Dieu et ses anges n'avaient jamais étaient très présent dans leur vie, ils avaient beau prier, personne ne semblait les entendre. Je suppose que même moi en tant qu'ange, je pouvais comprendre ça, il y avait tant de choses que je ne comprenais pas, tant de choses qui semblait mettre en doute l'existance de dieu, par exemple, dieu n'a t-il pas dit “Tu ne tuera point” ? Et pourtant combien de sang avait il laissé coulé en son nom ? Les hommes s'étaient entretués pour lui et il n'avait pas agit, il avait laisser faire et en tout temps, depuis la naissance du christianisme les hommes sont morts au nom de dieu, bien sûr grand nombre d'entre nous ne trouveront des reproches à faire qu'à l'humanité, mais ce n'est pas mon cas. La responsabilité ne peut pas être juste humaine, nos avons bien trop d'éstime pour La Création pour penser cela. Non je ne pouvais pas me résoudre à rejeter sur cette Création devant laquelle nous n'étions rien. Si Dieu était intervenu, les choses se seraient autrement l'histoire aurait été moins sanglante et le futur plus beau, Dieu aurait pu empêcher le nazisme, les guerre, la misère et toutes les horreurs que connait cette terre. Voilà une façon de penser qui si je le disais à autre voix, me coûterais bien cher, j'ai beau croire que notre père est le meilleur de tous, j'ai bien peur qu'il est lui aussi commis des erreurs pourtant on dit que personne n'est parfait, à part Dieu il parait ...

La nuit était froide et sombre, la pleine lune brillait dans la sombre nuit, éclairant de sa blanche lumière les maisons silencieuses d'Ellington, mais l'une de ses maisons il y avait la fameuse Alice, cette femme qui commençait à se croire folle, celle qui était terrifiée et qui pourtant s'entêtais à dire à l'homme qu'elle aimait que tout allait bien, le genre de femme qui refuse que l'on s'inquiète pour elle ou juste le genre de femme qui veut régler ses problèmes toute seule, selon moi elle aurait bien raison, vu que de toute façon, il y'avait qu'elle est moi, jusqu'au jour ou nous ne ferons plus qu'une. Cette fameuse nuit, je revins encore à elle, elle se réveilla dans la nuit au son de ma voix l'apellant encore, elle se leva frotta de ses fines mains blanches aux ongles vernis de rouge, ses grands yeux sombre, avant de se diriger d'un pas trainant vers la cuisine ou mes nouveaux appels la firent enfin réagir, elle se retourna sur elle même comme pour vérifier que personne ne se tenait prêt d'elle, puis pensant à une hallucination elle pris un verre et le rempli d'eau, et les lumières se mirent déconner, s'éteindre pour se rallumer dans un drôle de grissaillement, une nouvelle fois la jeune femme se retourna avant de poser cette question typiquement humaine ...

« Y a quelqu'un ... ?
- Je suis toujours là ...
- Quoi ?
- Ayaelle ...
- Bien sûr ... Bonne nuit ... »

La jeune femme leva les yeux au ciel avait d'éteindre cette lumière grésillante et de retourner se coucher, mais elle n'atteignis pas la chambre, la porte c'était refermée dans un claquement qui fit sursauter la jeune femme elle essaya d'ouvrir la porte de la chambre mais en vain, alors elle frappait contre la porte en hurlant le nom de son petit ami, qui lui même essayais d'ouvrir la porte sans y arriver, la peur laissa couler des larmes sur les joues de la jeune femme qui se retourna après la chute d'un vase, parfois les anges sont pires que les polstergeist. Appuyer contre la porte fermée elle regardait autour d'elle, sans y voir grand chose vu qu'il faisait noir.

« Qu'est-ce que vous me voulez bon sang ?!
- Je te l'ai déjà dis ...
- Mon aide ? Pourquoi faire ?!
- Rejoindre la terre ...
- Je comprend rien à ce que vous me dites, laissez moi tranquille !
- Toi qui crois en notre père tu devrais croire en moi aussi ...
- Oui bien sûr ! Les anges descendent souvent sur terre pour faire peur aux humains !
- Je ne suis pas là pour te faire peur ...
- Alors prouvez moi que vous êtes un ange ! »
C'est sur ses paroles que je laissais les choses redevenir normales, la porte de la chambre s'ouvrit enfin et voilà notre jeune femme presque rassurée dans les bras d'un petit ami qui était autant inquiet qu'elle, s'il lui fallait la preuve que j'étais là, ange parmi les vivant, elle l'aurait, c'était sûr et certain, j'étais un ange et je pouvais semer des miracles, alors elle serait vite satisfaite et apte à m'écouter. Ce soir là là jeune femme se croyait folle et il y avait son charmant fiancé pour la rassurer, des “ne t'inquiètes pas” ils sont passé aux baisers et pour la suite de cette nuit, je vous laisser en imaginer les détail si cela vous enchante ... tout ça pour dire que cette fameuse nuit, mon miracle se réalisa.

Elle n'eu plus de nouvelle de moi pendant une semaine , seulement la jeune femme tomba soit disant malade, nausées, vomissements et vertiges, c'est en allant chez le medecin qu'elle appris qu'en vérité elle était enceinte, drôle de chose pour une femme supposée être stérile. Après cette nouvelle elle se rendit à l'église et pria, elle remercia le ciel de lui avoir accordé la chance d'être mère.
C'est à tout celà que je pensais en me rendant, toujours sans corps jusqu'à la chambre numéro trois cent soixante trois de l'hôpital psychiatrique situé non loin de la ville d'Ellington, pourquoi à cet endroit ? Parce que c'est ici qu'était cette jeune femme Alice Héloïse Biel, hospitalisée parce qu'elle disait entendre des voix et parce qu'elle avait peu à peu sombré dans la dépression après avoir fait une fausse couche, elle était là, assise sur le lit de la chambre étroite en train de broyer du noir ou juste de prier pour qu'on lui vienne en aide et je suis revenue ...

« Alice ...
- Ayaelle ...?
- Oui ...
- Pourquoi est-ce que vous n'êtes pas revenue plutôt ?
- Pour te laisser le temps de comprendre ...
- Comprendre quoi ? Que ma vie est pourrie ? Qu'il ne m'arrivera jamais rien de bien ?
- Tu peux accomplir de grandes choses ...
- Si vous le dites ...
- Tu es la seule à pouvoir m'aider
- A faire quoi ?
- J'ai besoin de ton corps pour agir sur terre ...
- Comment ça ?
- Nous autres anges, nous avons besoin d'un hôte pour agir librement sur terre, un corps à posséder, ainsi nous pouvons agir de nous même, mais je ne vous cacherais pas que ce n'est pas facile pour l'hôte ...
- Pourquoi vous me demandez mons avis, vous vous doutez bien que je ne vais pas accepter de vivre dans des conditions encore pire ...
- Je n'ai pas le choix, nous sommes des anges, nous n'agissons pas sans autorisation ...
- C'est sûr que c'est beaucoup mieux d'avoir l'autorisation des gens pour leur faire connaitre l'enfer ...
- L'enfer arrive, mais ce n'est pas nous qui l'apportons ...
- Qu'est-ce que vous entendez par là ?
- Les démons ont des plans apocalyptique ...
- Les démons ?
- Si vous croyez en Dieu, vous devez aussi croire au Diable ...
- Peut être que je suis vraiment folle ...
- Absolument pas, vous êtes la seule à avoir raison parmi ceux qui ne vous croient pas ...
- Mais je suis la seule à paraitre cinglée ...
- Alors vous n'avez peut être plus rien à perdre ...
- Sans doute ...
- Vous seriez plus utile en acceptant de m'aider putôt qu'en restant cloitrée pour vous faire soigner d'un mal dont vous ne souffrez pas ...
- Mais je suis fiancée ...
- Je sais, si vous l'aimez je peux faire de mon mieux pour le protéger des évènements qui s'abattrons sur terre, vous pouvez m'aider à le protéger ...
- Mais il finira pour m'oublier ...
- Et vous ne quitterez jamais cette chambre, parce que vous ne pouvez pas guérrir si vous n'êtes pas malade, dans les deux cas il finira par vous oublier, mais l'un des deux lui coûtera la vie ...
- Je l'aime ... »

Une larme perla sur la joue de la jeune femme, je suppose que la peine qu'elle ressentait à l'idée de le perdre celui qu'elle aimait fut ce qui lui permis d'accepter, je le sentais, ses larmes coulant sur ses joues reflétait tout ce qui était en train de changer dans sa tête comme dans son coeur, c'est sans doute quelque chose que je pouvais comprendre après tout, je ne vivais moi même que pour une seule personne, mes choix n'étaient fait qu'en fonction de lui, notre seigneur et maitre ...

« Allez y ... Faites ce que vous voulez de moi, mais jurez moi devant Dieu de protéger Jackson !
- Je vous le jure, que le seigneur en soit témoin, je vous jure de protéger cet homme ..
- Merci ...
- C'est moi qui vous remercie Alice ... »

Sur cette phrase une grande lumière blanche envahie la chambre de la belle Alice Biel, et me revoilà sur terre, après tout ce temps passé au paradis, me voilà de retour sur terre avec une mission à accomplire